Les chauves-souris possèdent un sonar perfectionné qui leur permet de se diriger dans le noir complet ou de détecter et de capturer des proies : c’est l’écholocation.
Elles émettent également des sons de communication, que l’on appelle cris sociaux, qui servent à communiquer entre individus ou à effectuer un balisage territorial à proximité des gîtes.
La Pipistrelle pygmée : elle émet les sons les plus aigus de toutes les Pipistrelles, souvent au-dessus de 55 kHz.
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Le Molosse de Cestoni : la fréquence de ses cris d’écholocation est si basse, qu’il est possible de l’entendre à l’oreille « nue ». Ceux-ci se situent vers 10 kHz. Au milieu de la séquence, les cris se rapprochent à la détection d’un proie, avant la capture : c’est le buzz.
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La Grande Noctule : une autre espèce adepte des basses fréquences. Ici, elle émet des cris sociaux, sorte de communication territoriale à l’attention de ses congénères, sous forme de vocalisations variées et multitonales.
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Le Minioptère de Schreibers : ses cris ressemblent beaucoup à ceux des Pipistrelles, mais souvent avec un rythme plus rapide. Strictement cavernicole, il peut former des colonies très nombreuses.
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